Mesures sanitaires

NOTRE PROTOCOLE EN VIGUEUR

LE CENTRE THERMAL SAINT ELOY : UN ENVIRONNEMENT DE VIE SECURISÉ

  • POUR NOS ÉQUIPES​

Le personnel de l’établissement a été formé à l’application des mesures spécifiques au contexte du Covid-19. Des gestes barrières aux protocoles de nettoyage, désinfection et aération, tout a été révisé et adapté à cette nouvelle saison thermale. Notre signalétique, aussi bien informative que nécessaire à la circulation dans l’établissement, a également été revue et optimisée dans l’optique de rendre votre séjour agréable mais sécurisé.​

  • POUR VOUS, CURISTES​

Une distance de 1m de chaque côté doit être respectée et s’impose d’autant plus dans les zones d’attente, lors des déplacements et des croisements en zone de soins. Le port du masque est obligatoire dès l’entrée au Centre Thermal Saint Eloy, masque de type chirurgical et/ou avec filtration supérieure à 90 %. Veillez à bien recouvrir le nez, la bouche et le menton. Les effets personnels sont limités au strict minimum dans l’établissement. Enfin, des bornes de gel hydroalcoolique sont placées à divers points de passage.​

Bien-entendu, ces mesures étant susceptibles d’évoluer au fil du temps, nous les adapterons et vous notifierons toute mise à jour.​

SIGNES CLINIQUES D’ORIENTATION DIAGNOSTIQUE DE LA  COVID-19 – ACTUALISATION DE L’AVIS HCSP DU 01/05/2020​

Outre les signes classiques d’infection respiratoire tels que la toux, la fièvre et la dyspnée, d’autres symptômes peuvent constituer des éléments d’orientation.

Ainsi la survenue brutale et inexpliquée d’une asthénie, de myalgies, de céphalées, ou l’apparition de maux de gorge, d’une anosmie ou d’une agueusie, sont évocateurs de Covid-19 en période épidémique.

Chez l’enfant, le diagnostic peut être évoqué devant l’apparition brutale des symptômes précédemment décrits, d’une diarrhée ou d’une fièvre isolée.

Chez le sujet âgé, la survenue ou l’aggravation brutale de troubles de la conscience, de chutes ou encore d’une altération de l’état général doivent inciter à évoquer le diagnostic.

Enfin plus rarement ont été décrits des signes neurologiques ou cardiovasculaires, qui sont plus des complications que des manifestations précoces de l’infection par SARS-CoV-2.

Des études observationnelles privilégiées ainsi que des travaux de modélisation ont montré que l’infection peut être asymptomatique ou paucisymptomatique (entraînant pas ou peu de manifestations cliniques) chez 30 à 60 % des sujets infectés. En conséquence, si la présence de l’un au moins des symptômes doit alerter, leur absence ne doit pas être source de laxisme dans l’application des mesures barrières.​

CORONAVIRUS ET PATIENTS « À RISQUE » : DANS QUELS CAS NOUS VOUS CONSEILLONS DE REPORTER VOTRE CURE ?​

Notre établissement a mis en place des conditions d’hygiène et de sécurité renforcées, vous garantissant ainsi une cure en « pleine sécurité ».Pour autant, si vous souffrez d’une pathologie décrite dans la liste ci-dessous, ou si votre état personnel vous classe dans la catégorie des profils « à risque », nous vous suggérons de vous assurer que votre état de santé vous permet de bénéficier de votre cure, en toute sécurité.​

FACTEURS DE RISQUE SELON LE HAUT CONSEIL DE LA SANTÉ PUBLIQUE (DONNÉES DU 29 OCTOBRE 2020) :​

  • pathologies cardio-vasculaires : hypertension artérielle (HTA) compliquée (avec complications cardiaques, rénales et vasculo-cérébrales), antécédent d’accident vasculaire cérébral, antécédent de coronopathie, antécédent de chirurgie cardiaque, insuffisance cardiaque stade NYHA III ou IV ;
  • diabète non équilibré ou compliqué ;
  • pathologies respiratoires chroniques susceptibles de décompenser lors d’une infection virale : broncho pneumopathie obstructive, asthme sévère, fibrose pulmonaire, syndrome d’apnées du sommeil, mucoviscidose notamment ;
  • insuffisance rénale chronique dialysée ;
  • obésité avec indice de masse corporelle (IMC) ≥ 30 ;
  • cancer évolutif sous traitement (hors hormonothérapie) ;
  • cirrhose au stade B du score de Child Pugh au moins ;
  • immunodépression congénitale ou acquise ;
  • syndrome drépanocytaire majeur ou antécédent de splénectomie ;
  • maladies du motoneurone, myasthénie grave, sclérose en plaques, maladie de Parkinson, paralysie cérébrale, quadriplégie ou hémiplégie, tumeur maligne primitive cérébrale, maladie cérébelleuse progressive.
  • Les personnes âgées de 65 ans et plus (mais ceci doit être relativisé, et tenir compte de l’âge physiologique et de la présence ou non de facteurs de comorbidité comme listé ci-dessus)